Chronique d’un jury lycéen au Fifac - Jour 3
Aujourd’hui, nous avons eu la chance de rencontrer deux réalisatrices Aurélie Bambuck et Sylvaine Dampierre. Nous leur avons posé tout un tas de questions sur leurs films et la réalisation de ces derniers.

Tout d’abord, nous leur avons demandé si elles avaient pour projet de réaliser un film ensemble, elles nous ont répondu que non car elles se connaissent depuis peu et que selon Mme Dampierre, un documentaire est avant tout un projet personnel.
Nous avons aussi voulu savoir si elles avaient déjà rencontré des difficultés lors de la réalisation de films, Mme Dampierre nous a confié avoir déjà eu des problèmes mais le fait d’avoir des amis et des contacts etait précieux pour les résoudre et qu’il ne fallait pas les perdre.
Mme Bambuk étant une ancienne journaliste nous a répondu que la caméra ne la stressait pas et qu’elle était à l’aise avec cela, elle nous a aussi raconté une anecdote : Un jour, un de ses perchistes était trop petit ; il a dû se tenir debout sur la pointe des pieds les bras tendus pendant plus d’une heure.

Pour elles, il y a une grande différence entre le reportage et le documentaire, Aurélie Bambuk nous précise : « Je prends mal le fait qu’on dise que c’est la même chose… » Les reportages sont faits sans détails pour l’actualité tandis que les documentaires sont plus détaillés pour passer des messages.

Voici quel a été l’évènement principal d’aujourd’hui, cette rencontre a été stimulante. Nous voyons un peu mieux les éléments nécessaires et les compétences pour devenir un bon réalisateur.


Élèves du lycée Léopold Elfort